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Le Gardes-du-Corps (prononciation française : , Bodyguard) était la formation supérieure de la Cavalerie de la Maison du roi de France au sein de la Maison militaire du roi de France.

L’unité la plus ancienne de la Garde du Corps était la Compagnie des Archers Ecossais, plus tard juste la 1ère Compagnie Ecossaise ou Garde Écossaise, formée en 1419 à partir des Écossais qui ont combattu pour les Français pendant la Guerre de Cent Ans. Cette unité a été créée à une date incertaine entre 1423 et 1448. Par la suite, deux autres compagnies françaises ont été levées. Une dernière compagnie a été créée le 17 mars 1515. Chacune des quatre compagnies comptait initialement moins d’une centaine d’hommes.

Lors de la bataille de Fornovo pendant les guerres d’Italie, la Garde du Corps a sauvé le roi Charles VIII de la capture par les forces ennemies. Plus tard, pendant les guerres d’Italie, elle n’a pas réussi à sauver François Ier de la capture lors de la bataille de Pavie.

La dernière campagne de la Garde du Corps a eu lieu pendant la Guerre de Succession d’Autriche, car elle n’a fait campagne que lorsque le roi était présent. La dernière bataille à laquelle la Garde du Corps a participé fut celle de Lauffeld, le 1er juillet 1747.

Contrairement à d’autres unités de la Maison Royale comme la Garde française et la Garde suisse, la Garde du Corps était un corps exclusivement aristocratique. Même les membres de la base étaient issus de familles ayant un milieu social approprié. En tant que tels, ils étaient réputés pour leurs manières courtoises, mais moins pour leur professionnalisme et leurs compétences militaires.

Les gardes de courtoisie individuels en poste à Versailles n’étaient pas soumis à une formation régulière au-delà de l’exercice cérémonial, et les périodes prolongées de congé de service étaient courantes. Les officiers de la Garde du Corps n’aimaient pas devoir porter l’uniforme (perçu comme une sorte de livrée de serviteur) lorsqu’ils étaient en service à Versailles et ont finalement obtenu la concession de se présenter en tenue de cour civile avec leurs ceintures et leurs épées militaires, sauf lorsqu’ils participaient à un défilé.

La Garde du Corps s’est distinguée dans plusieurs incidents au début de la Révolution française. Le 1er octobre 1789, les officiers de la Garde organisèrent un banquet pour accueillir leurs collègues du régiment d’infanterie de ligne « Régiment de Flandre » de l’Armée royale, qui avait été amené à Versailles pour remplacer la Garde française dissoute (Gardes français). Ce dernier régiment avait participé à l’attaque de la Bastille six semaines auparavant. Le banquet a été rapporté à Paris comme une provocation royaliste et une foule en colère de milliers de personnes a marché sur Versailles. Dans la nuit du 5 octobre, environ 500 membres de la foule firent irruption dans le château, tuant plusieurs Gardes du Corps en service. D’autres Gardes du Corps ont tenu les portes des appartements royaux jusqu’à ce que les grenadiers de la Garde nationale – pour la plupart d’anciens Gardes français – rétablissent l’ordre. La Garde du Corps échappa de justesse au massacre et, désarmée, fut obligée d’accompagner la Famille Royale à Paris. La plupart de ce régiment aristocratique se dispersa alors dans leurs domaines ou en exil.

La Garde du Corps est formellement dissoute en 1791, ainsi que toute la Maison du Roi, à l’exception de la malheureuse Garde Suisse. Après l’abdication de Napoléon Ier en avril 1814 et la Restauration des Bourbons, Louis XVIII recréa la Garde de Corps avec le reste de la Maison du Roi. Ces unités disparurent au retour de Napoléon, au début des Cent-Jours.

Après Waterloo et le retour des Bourbons, la Garde du Corps fut recréée, presque la seule unité de l’ancienne Maison du Roi à avoir une nouvelle chance après les performances décevantes de ces régiments coûteux et militairement obsolètes en 1815. La Garde du Corps est cependant réorganisée, réduite à environ 1.500 hommes et intégrée plus étroitement à l’armée régulière. La Garde du Corps reconstituée sert fidèlement les Bourbons de retour jusqu’à ce qu’elle soit finalement supprimée, avec toutes les unités de la Garde, par Louis-Philippe en 1830 après la Révolution de juillet .

La devise originale de la Garde du Corps était Erit haec quoque cognita monstris (Ils seront reconnus, eux aussi, avec leurs brillantes actions), mais sous le règne de Louis XIV elle changea en Nec pluribus impar (Pas de match inégal pour beaucoup (soleils)), qui était aussi la devise personnelle de Louis XIV.

Les épées des gardes étaient inscrites avec Vive le Roi.

Le nombre de gardes passe de 400 à 1600 hommes entre le règne de François Ier et celui de Louis XIV. Au XVIIIe siècle, les effectifs se stabilisent autour de 1 500 hommes.

En 1737, chaque compagnie compte 320 hommes, organisés en deux escadrons et six brigades.

Malgré le nom, au XVIe siècle, la compagnie a cessé d’être purement écossaise. Peu à peu, la Scottish Company ne devint écossaise que de nom.

Capitaines/Chefs de corps :

Louis XI, par édit du 4 septembre 1474, avait institué pour la garde de sa personne une compagnie de 100 hommes d’armes français, sous le commandement d’Hector de Galard. Cette troupe fut longtemps connue sous le surnom de gentilshommes au bec de

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