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L’armée luxembourgeoise est la force militaire nationale du Luxembourg. Depuis 1967, l’armée est une force entièrement bénévole. Elle compte actuellement environ 450 soldats professionnels, soit 340 recrues et 100 civils.

L’armée est sous contrôle civil, avec le Grand-Duc comme commandant en chef. Le ministre de la Défense, actuellement François Bausch, supervise les opérations de l’armée. Le chef professionnel de l’armée est le chef de la défense, qui relève du ministre et qui a le rang de général.

Le Luxembourg a participé à l’Eurocorps, a fourni des troupes aux missions de la FORPRONU et de l’IFOR en ex-Yougoslavie, et a participé avec un petit contingent à l’actuelle mission de la SFOR de l’OTAN en Bosnie-Herzégovine. Des troupes luxembourgeoises ont également été déployées en Afghanistan, en soutien à la FIAS. L’armée a également participé à des missions d’aide humanitaire telles que la mise en place de camps de réfugiés pour les Kurdes et la fourniture de matériel d’urgence à l’Albanie.

Le 8 janvier 1817, Guillaume Ier, Grand-Duc de Luxembourg, a publié une loi constitutionnelle régissant l’organisation d’une milice, dont les principales dispositions devaient rester en vigueur jusqu’à l’abolition de la milice en 1881. La loi fixe l’effectif de la milice à 3.000 hommes. Jusqu’en 1840, les miliciens luxembourgeois ont servi dans des unités de l’Armée royale néerlandaise. Les hommes engagés servent pendant cinq ans : la première année est un service actif, mais pendant chacune des quatre années de service suivantes, ils ne sont mobilisés que trois fois par an.

En 1839, Guillaume Ier devient partie au Traité de Londres par lequel le Grand-Duché perd ses territoires francophones de l’Ouest au profit de la province belge du Luxembourg. La population du pays ayant été réduite de moitié, avec la perte de 160.000 habitants, la milice perdit la moitié de ses effectifs. Aux termes du traité, le Luxembourg et le nouveau duché de Limbourg, tous deux membres de la Confédération allemande, devaient fournir ensemble un contingent fédéral composé d’un bataillon d’infanterie légère en garnison à Echternach, d’un escadron de cavalerie à Diekirch et d’un détachement d’artillerie à Ettelbruck. En 1846, les unités de cavalerie et d’artillerie sont dissoutes et le contingent luxembourgeois est séparé de celui du Limbourg. Le contingent luxembourgeois se compose alors de deux bataillons d’infanterie légère, l’un à Echternach et l’autre à Diekirch, de deux compagnies de réserve et d’une compagnie de dépôt.

En 1866, la guerre austro-prussienne entraîna la dissolution de la Confédération allemande. Le Luxembourg fut déclaré neutre à perpétuité par le traité de Londres de 1867 et, conformément à ce traité, sa forteresse fut démolie dans les années qui suivirent. En 1867, la garnison prussienne quitta la forteresse et les deux bataillons d’infanterie légère luxembourgeoise entrèrent dans la ville de Luxembourg en septembre de la même année.

Une nouvelle organisation militaire est mise en place en 1867, composée de deux bataillons, le Corps des Chasseurs Luxembourgeois, avec un effectif total de 1.568 officiers et hommes. En 1868, le contingent se compose d’un bataillon d’infanterie légère de quatre compagnies, avec un effectif de 500 hommes. Le 16 février 1881, le bataillon d’infanterie légère est dissous avec l’abolition du système de milice.

Le 16 février 1881, le Corps des Gendarmes et Volontaires est créé. Il est composé de deux compagnies, une compagnie de gendarmes et une de volontaires. En 1939, un corps de volontaires auxiliaires est créé et rattaché à la compagnie de volontaires. Après l’occupation du Luxembourg par l’Allemagne en mai 1940, le recrutement pour la compagnie de volontaires se poursuit jusqu’au 4 décembre 1940, date à laquelle ils sont transférés à Weimar, en Allemagne, pour y être formés à la police allemande.

En 1944, pendant la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement luxembourgeois, alors qu’il était exilé à Londres, a conclu des accords pour qu’un groupe de soixante-dix volontaires luxembourgeois soit affecté au groupe d’artillerie de la 1ère Brigade d’infanterie belge, communément appelé Brigade Piron, Jean-Baptiste Piron étant le chef de cette unité. Ce contingent est nommé Batterie de Luxembourg. Dans un premier temps, elle est constituée et entraînée par deux officiers belges. Plus tard, à partir d’août 1944, ceux-ci furent rejoints par des officiers luxembourgeois, qui avaient reçu leur formation en Grande-Bretagne.

Plusieurs sous-officiers luxembourgeois et la moitié des troupes du pays avaient combattu en Afrique du Nord dans la Légion étrangère française. Le reste était constitué de personnes qui s’étaient échappées du Luxembourg et de jeunes hommes qui avaient échappé à la conscription forcée dans la Wehrmacht en fuyant vers la Grande-Bretagne. L’unité luxembourgeoise débarqua en Normandie le 6 août 1944 – à peu près en même temps que la brigade néerlandaise Princesse Irène et la 2e DB française (« division blindée ») commandée par le général Leclerc – deux mois après le débarquement du jour J.

La batterie luxembourgeoise est équipée de quatre obusiers QF 25 livres d’artillerie, qui portent le nom des quatre filles de la Grande-Duchesse Charlotte : les princesses Elisabeth, Marie-Adélaïde, Marie Gabriele et Alix.

En 1944, l’obligation de m

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